Il y a quelques semaines, les épreuves non corrigées de PUSH ont été envoyées à des blogueurs et journalistes.
Pour celles et ceux qui l'ont reçu, je tiens à préciser que le résumé qui y figure était provisoire.
Le roman aborde bien les violences sexuelles dans le sport, mais sous un angle particulier, celui des mécanismes d'autoprotection que l'on peut ériger lorsqu'on ne veut pas voir une réalité qui fait trop mal, notamment quand on est dans l'entourage de la victime. Parce que parler, quand la victime ne l'a pas fait, c'est inconsciemment endosser la responsabilité de "tout foutre en l'air", de déranger l'ordre établi. Presque une culpabilité.
Bref, pour que la parole se libère, il faut aussi qu'elle puisse être entendue, qu'elle puisse circuler. Et force est de constater que ce n'est pas toujours le cas, malheureusement.
PUSH, en librairies le 9 juin prochain !
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