Vendredi, samedi et dimanche, je suis donc allée à Nancy dans le cadre du Livre sur la place, premier salon littéraire de la rentrée.
On m'en avait dit beaucoup de bien, et la réputation n'est pas usurpée. Quel monde sous les chapiteaux et du côté auteurs, une organisation sans faille !
Ceux qui n'ont pas pu me voir (mettons quand j'étais aux toilettes ou en train de refaire ma mise en pli ou de rigoler devant le sms de mon homme m'expliquant qu'il s'était trompé de classe à la réunion de l'école) pouvaient toujours se rabattre (humour) sur Mazarine Pingeot, Gael Faye, Bernard Pivot, Yasmina Khadra, François de Closet ou Jean Louis Debré.
On m'en avait dit beaucoup de bien, et la réputation n'est pas usurpée. Quel monde sous les chapiteaux et du côté auteurs, une organisation sans faille !
Ceux qui n'ont pas pu me voir (mettons quand j'étais aux toilettes ou en train de refaire ma mise en pli ou de rigoler devant le sms de mon homme m'expliquant qu'il s'était trompé de classe à la réunion de l'école) pouvaient toujours se rabattre (humour) sur Mazarine Pingeot, Gael Faye, Bernard Pivot, Yasmina Khadra, François de Closet ou Jean Louis Debré.
Et ceux qui ne voulaient voir personne pouvaient toujours admirer les portes et les sculptures de la place Stanislas |
Plus sérieusement, je tenais à saluer les élèves que j'ai rencontrés vendredi, car ils ont réussi l'exploit de recevoir un auteur et d'étudier un de ses ouvrages une semaine seulement après la rentrée. J'ai une pensée spéciale pour les élèves de la classe Français Langue Seconde, dont certains viennent de pays dont les salons littéraires doivent être la dernière priorité....J'ai été très émue de les croiser et je leur souhaite une bonne intégration chez nous.
Un grand merci aux 4 classes et à Catherine, le professeur documentaliste. Merci aussi à Marjorie, de la librairie L'autre rive, d'avoir pensé à moi (et d'avoir aussi pensé à Clémentine Beauvais que j'ai pu rencontrer en chair et en os, même si nous n'avons pas eu le temps de bavarder...je suis repartie avec son Songe à la douceur dans ma valise, je n'ai lu que quelques pages et je suis déjà tombée en amour total, Clémentine je te prédis qu'un jour tu auras le prix Lindgren).
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